Bones Brothers

Publié le par Frakiss Foudre-grise

Voici un "petit" récit de Frakiss Foudre-grise ( merci à lui ) mettant en scène son chapitre les "Bone Brothers" lors d'une bataille épique.


Bones Brothers

« Everon à toutes les escouades : Descente amorcée, préparez-vous au contact. »
Le capitaine replongea dans sa prière alors que l’ordre se répercutait aux Space Marines de la troisième compagnie des Bones Brothers. Cela faisait plusieurs semaines déjà que les gardes impériaux tenaient les positions dans la campagne environnante de la plus grosse cité ruche de la planète X34Pm9. Les xenos avaient déjà attaqué plusieurs fois les positions du 22ème des fusiliers de Primas Ronnos. Les gardes avaient résisté bravement mais la force brute et la vague intarissable des créatures venaient de percer les défenses.
C’est le moment que les Marines avaient choisi pour lancer leur offensive. Ils attaqueraient par l’arrière et le centre des lignes xenos afin de briser les défenses et d’exterminer le mal à la racine. Everon savait qu’attendre ainsi que la garde cède avant de lancer l’offensive avait coûté la vie à plusieurs centaines, plusieurs milliers d’humains peut-être même, humains qu’ils avaient juré de protéger. Il était cependant contraire aux préceptes du chapitre de combattre au coté d’autres organisations. Les Bones Brothers avaient laissés aux défenses de la planète la possibilité d’exterminer les xenos mais ils avaient échoué. Il revenait maintenant aux Marines de remporter ce combat.

Le thunderhawk amorçait la phase terminale et se préparait à se poser à l’arrière des lignes. Dans quelques instants pensa Everon, les surhommes de l’adeptus astrates porteront la mort dans les lignes ennemies au nom de l’Empereur. Le Space Marine vérifia une dernière fois son équipement, son pistolet bolter était accroché dans son étui de cuir avec plusieurs chargeurs de remplacement, chacune des pièces brillait grâce aux nombreux onguents que les techmarines du chapitre avaient passé dessus en priant l’esprit de la machine d’en guider les projectiles. Le capitaine utilisait pour se battre une paire de griffes éclairs, qu’il affectionnait particulièrement, le corps à corps était en effet le mode de combat que le chapitre appréciait le plus. Les guerriers pouvaient en effet s’assurer de la mort de tous leurs adversaires. Une fois sûr que tout son attirail était en parfait état, il s’autorisa à jeter un œil vers les marines harnachés aux bancs du colosse de métal qui les transportait. Tous étaient en train de terminer leurs vérifications comme il venait de le faire.

« Essuyons tirs d’armes antichars. Pas de dégâts notables. »
La voix était celle de l’un des copilotes de l’engin et Everon se rendit alors compte que le thunderhawk tremblait plus qu’habituellement. De temps en temps, un tir touchait le blindage renforcé d’adamantium, provoquant un léger tangage de l’appareil. Mais le pilote en avait l’habitude, il n’eu aucun mal à continuer de se rapprocher du point d’atterrissage des escouades. Lorsque la rampe commença à s’ouvrir doucement, le bruit de terribles explosions remplirent l’espace confiné de la cabine de largage. Les senseurs des frères du capitaine se réglèrent automatiquement et les explosions baissèrent de volume alors que les autres sons ne changèrent pas. Everon posa alors pour la première fois ses yeux sur la planète. Le ciel bleu sombre éclairait la terre brunâtre qui recouvrait la majeure partie du sol et les quelques touffes éparses qui clairsemaient ce tableau de touche verte et jaune. Ici et là, de grands creux avaient étés formés par les obus que les xenos avaient tirés sur le transporteur de troupe et d’énormes blocs rocheux semblant sortir de terre comme d’immenses éclats de shrapnell pourraient fournir un couvert pendant l’avance des marines. Une forêt barrait le passage et la vue après une grosse centaine de mètre de découvert. Everon y vit les vestiges de la défense des gardes impériaux, des dizaines de bunkers brûlés et couvert d’impacts de balles, mais si certains s’étaient effondrés sous les tirs xenos, tous étaient abandonnés. Et des cadavres, des centaines de cadavres, formes noires vident de toute vie, xenos et humains, comme le maillage d’un gigantesque canevas de mort.

Plus que vingt mètres…
Les Space Marines détachèrent leur harnais comme un seul hommes et se levèrent.
Quinze mètres…
Les hurlements sauvages de la horde d’ennemis commencèrent à emplir la cabine et les oreilles des Space Marines se préparant mentalement au combat à venir.
Treize mètres…
Un obus chanceux fit vaciller un instant le thunderhawk avant que le pilote n’en reprenne le contrôle.
Onze mètres…
Les tirs se firent plus intensifs, les armes à courte portée commençaient à arriver à bonne distance de tir.
Huit mètres…
« Escouade Haine Céleste : Débarquement ! » Hurla Everon en sautant par la trappe arrière. Ses réacteurs dorsaux s’allumant alors que le sol n’était plus qu’à quelques centimètres de ses pieds pour alléger son atterrissage. Les sept marines de l’escouade arrivèrent un instant plus tard et commencèrent la couverture en attendant les autres.
Les escouades dragon Fureur Divine et Sainte violente sautèrent rapidement au sol et commencèrent à épauler leurs armes pour couvrir les marines d’assaut dont les pistolets bolter ne pourraient pas retenir bien longtemps l’ennemi à distance.
« Débarquement terminé. » Assura alors le capitaine sur la fréquence du thunderhawk. Ce dernier opina et poussa les réacteurs du vaisseau pour l’éloigner des combats.

Everon jaugea alors rapidement la situation. Les xenos se rapprochaient dangereusement, Arcolos en retenait certains en tirant depuis un couvert à l’aide de son canon d’assaut et son bolter lourd. Les extraterrestres repliés dans un bunker dont le toit était complètement effondré attendaient une accalmie avant de se jeter à nouveau vers les spaces marines.
« Tir de couverture. » Ordonna simplement le capitaine aux trois unités proche de lui. Il changea ensuite la fréquence de son communicateur sur celle des deux derniers thunderhawk, ces derniers devaient se poser en retrait d’une cinquantaine de mètres, l’un d’eux transportait l’escadron motocycliste Rage Ardente ainsi qu’Esperos ; le predator était accroché sous le ventre de fer du vaisseau et serait largué à quelques mètres du sol. Le troisième transporteur pour sa part s’occupait de l’acheminement de l’équipe de devastator Déchaînement Divin et de l’escouade de vétéran en VAB.
Poser des véhicule demandant une concentration extrême, les pilotes les posaient en deuxième ligne, les escouades du premier thunderhawk faisant débarquer une force capable de freiner un instant l’avance de l’ennemi en lui opposant une puissance de feu non négligeable.
« Où en sont les thunderhawk deux et trois ? » Demanda Everon.
« Phase de débarquement terminée. Retour au vaisseau mère. » La réponse lui parvint au milieu du tumulte des bolters et le Space Marine soulagé que le plan se déroule jusque là sans accroc reporta son attention sur les xenos.

Ces derniers étaient à une cinquantaine de mètres maintenant. Leur avance était largement freinée par les tirs ordonnés des Bones Brothers. Everon prit un instant pour les observer : Les guerriers, habillés de vêtements sans manche grossièrement teint en jaune pour la plupart, arborait une peau verte tirant parfois sur le jaune. Ils semblaient taillés pour le combat, leurs bras aux muscles saillants portant de lourdes armes de corps à corps. Des haches, des couperets dont Everon était sûr qu’il pourrait sans problème couper des armures humaines.
Mais il était Space Marine. Et même le plus gros des Orks ne percerait ni son armure, ni sa foi en l’Empereur se jura-t-il mentalement.

La fusillade continua quelques instants encore avant qu’une série de voix ne résonnent dans son casque :
« Escouade Déchaînement Divin en position dans les ruines sur votre droite. Prête à couvrir votre avance. » Disait la première.
« Esperos en position. » Terminait l’équipage du predator.
« Tir de couverture, bloquez-moi ces orks ! » Ordonna Everon. « Escouade Rage Ardente ? » Questionna-t-il alors.
« En position. » Lui répondit-on. Il reconnu la voix comme étant celle du réclusiarque Xoren qui avait pris la direction de l’escadre.
« Allez ! » Hurla-t-il sur la fréquence générale. Et il se jeta en avant, les servomoteurs de son armure tactique décuplant sa rapidité et son escouade le talonnant de près.

Il discerna les motocyclistes tentant de prendre les Orks par le flanc gauche. Ces derniers soulevaient un nuage de poussière en se précipitant vers l’ennemi. Un véhicule apparu soudain, il avait attendu le bon moment en restant à couvert avant de se jeter sur la route des motards. Un rayon de lumière vive fendit l’air vers l’énorme véhicule brinquebalant des Orks mais passa un peu au-dessus. Le deuxième tir d’Esperos toucha cependant sa cible, creusant un trou béant dans son blindage de fortune fait de plaques de fer rouillé soudées sommairement les unes aux autres. Une gerbe de flamme embrasa un instant le monstre de métal avant qu’il n’explose. Les motocyclistes traversèrent à l’aveuglette le fumée noire et les morceaux de shrapnells.

Everon et son escouade traversaient un court no man’s land sous les tirs imprécis des xenos à la peau verte. Leurs balles primitives ricochant sur les armures énergétiques en arrachant de petits morceaux de céramite mais sans ralentir le moins du monde les guerriers de l’Adeptus Astrates. Les orks étaient maintenus dans un couvert de fortune par les tirs combinés des escouades Fureur Divine et Saine Violence, ils n’en sortaient que des grenades et quelques tirs éparses. Lorsque les marines arrivèrent à une quinzaine de mètres de l’endroit où se terraient les guerriers Orks, les tirs de couverture cessèrent pour ne pas risquer de blesser l’unité d’assaut et se dirigèrent vers d’autres bandes.

Le Frère-capitaine Space Marine s’adressa à son unité sur leur fréquence personnelle : « Pour l’Empereur ! A l’assaut ! » Et il sentit la poussée de son propulseur personnel le faire décoller du sol. Les Orks, remarquant que la pluie mortelle avait cessé de tomber sortirent en hurlant de leur couvert. Ils furent cueillis par les pistolets bolters de l’escouade Haine Céleste qui en clouèrent plusieurs au sol avant même qu’ils ne fussent complètement sortis du bunker en ruine. Les Space Marine touchèrent le sol dans un bruit de tonnerre en frappant les Orks à leur portée. Everon sectionna une tête avec l’une de ses griffes éclairs et remercia les techmarines du chapitre pour cet équipement. Il trancha un deuxième ennemi, esquiva le couperet monstrueux d’un troisième avant de le transpercer de part en part. Un instant sans xenos à sa portée, il regarda autour de lui, frère Orlen, la plus jeune recrue de l’unité, se débattait contre trois ennemis et frère Vilen approchait en découpant un Ork au niveau de la taille pour lui venir en aide. De son coté, Frère Lander faisait exploser les têtes les unes après les autres, sa précision au pistolet était reconnue de tous et n’avait d’égal que sa force avec une épée tronçonneuse à la main. Manrel, Sadron et Scanten formait une ligne qu’aucun xenos ne parvenait à percer et qui avançait inexorablement, ils abattaient leurs ennemis d’un geste presque mécanique. Le frère capitaine Grameron quand à lui, enfonçait le crâne du plus gros Ork qu’il avait pu trouver à l’aide de son gantelet énergétique.
Rapidement, les xenos ne furent plus réduit qu’à un ramassis de monstres vert en déroute et les Space Marines les éliminèrent jusqu’au dernier à l’aide de leurs bolts avant de se regrouper et de prendre possession des ruines.

« Everon à escouade Fureur Divine. Avons pris une bonne position. Attente de renfort pour continuer l’avance sous couvert de votre feu. » Commença le Frère-capitaine. La réponse attendue ne fut cependant pas celle attendue :
« Ici Frère-sergent Dorane, sommes bloqué par des tirs de roquettes. Le Frère Alek est blessé à l’épaule, et Frère Oronas à la jambe, il ne peut plus marcher. Besoin d’une couverture pour sortir. »
« Vous allez devoir attendre. Les troupes ont toutes leurs utilité et je ne peux pas en détacher une pour vous aider. Sortez de là rapidement. Terminé. »
« A vos ordres. »
Le Frère-sergent de l’escouade tactique n’aurait aucun mal à se sortir de là, il restait sur place pour ne pas abandonner le Frère Oronas à l’ennemi, malheureusement, le temps n’était pas à l’attente mais à l’action. Les frères Morges et Leodas détenaient la puissance suffisante pour les sortir de ce mauvais pas sous la forme d’un canon laser et d’un lance-plasma, Everon en était sûr.
Mais puisqu’ils ne pouvaient pas venir les épauler tout de suite, son escouade devrait s’en passer.

Alors qu’il se préparait à repartir rapidement à l’assaut, sa radio grésilla une nouvelle fois et une voix, en partie couverte par des bruits de combats féroces et d’explosions, lui hurla :
« Escouade Ju… …oux, Promeros est immobi… …auter les chenilles… … coincés au corps à… … dizaines d’orks, formons un… …du Rhino. Frèr… …tombé. »
Le message était clair. Les vétérans avaient besoin d’aide, ils devait avoir de gros ennuis pour appeler à l’aide songea le Frère-capitaine. Mais quelle unité pouvait bien venir en aide aux Space Marines, ceux-là était dans une situation bien plus problématique que l’escouade Fureur Divine, et ne tiendraient peut-être plus très longtemps. La solution lui vint comme une illumination. Une seule unité pouvait traverser la zone de combat assez rapidement pour porter assistance aux vétéran ayant contourné les lignes Orks dans leur Rhino : L’escouade Rage Ardente.
« Everon à Rage Ardente. Demande de renfort urgent pour escouade Juste Courroux. »
La réponse du réclusiarque Xéron fut immédiate : « Nous brisons leurs lignes et arrivons en renfort. Pour l’Empereur ! »
« Pour l’Empereur. » Termina Everon avant de s’en retourner à sa propre situation.

Il risqua un œil hors de l’abri qu’ils venaient de conquérir lui et son escouade. Au loin devant lui, un combat faisait rage, celui de l’escouade dé vétéran pensa-t-il. Plus loin sur la gauche, le land-speeder Tornado continuait à tenir en respect une petite bande mais montrait quelques signes de faiblesse, la fumée noire s’échappant de son habitacle était une très mauvaise chose, tout comme l’Ork qui avait contourné un couvert pour prendre Arcolos à revers. Everon sentit la chose avant de réellement la voir. Il se jeta en avant, son escouade en fit autant et la plupart de ses hommes comprirent rapidement la situation et commencèrent à tirer sur l’Ork qui leur offrait son dos. Plusieurs bolts le frappèrent un peu partout. Mais avant qu’il ne s’écroule complètement dans un hurlement, la roquette de son arme primitive avait jailli et commençait son court voyage jusqu’au véhicule anti-gravitationnel.
Everon hurla : « Arcolos ! Roquette sur ta droite ! » Mais il ne pouvait rien faire de plus.

Le pilote avait du entendre l’avertissement car il plongea. Un instant on pu croire que le land-speeder pourrait éviter l’inévitable. Puis une explosion prouva le contraire. Elle toucha le réacteur anti-grav du véhicule dans une gerbe de flamme et de bouts de ferraille. Arcolos commença alors à perdre de la puissance, à vaciller légèrement comme un frelon venant de heurter une vitre à pleine vitesse. Puis il piqua vers le sol à quelques mètres de là et le frappa en soulevant un nuage de poussière.
L’escouade Haine Céleste se mit à charger les Orks se précipitant vers le lieu du crash en hurlant. Ils bondirent à l’aide de leurs réacteurs une fois de plus pour leur couper la route et atterrirent dans le gros de la bande Ork, frappant de taille d’estoc avec leurs épées tronçonneuses, les marines se frayèrent un chemin sanglant jusqu’à leurs frères dans la carcasse de ce qui était encore un instant plus tôt un land-speeder Tornado. Everon comprit rapidement que les deux frères Space Marines n’avaient pas eu de chance. Leurs jambes coincées dans l’habitacle ravagé, ils n’avaient pu se défendre quand les Orks leurs étaient tombés dessus. Ils gisaient paisiblement, en train de se vider de leur sang par plusieurs trous béants dans leurs casques respectifs ainsi que dans leurs plastrons. Everon recommanda leurs âmes à l’Empereur et se retourna pour venger leur mort. Mais son escouade était déjà en train d’achever les mourants et de prier pour les deux Marines. En laissant son regard vagabonder de l’un à l’autre de ses Marines, il remarqua que Frère Manrel était assis dans un coin. Il avait jeté son casque de coté et tenait son flanc d’où s’écoulait un long et épais filet de sang.
Le Frère-capitaine s’approcha et s’accroupi avant de lui demander simplement : « Tu peux te battre encore ? »
Le Marine baissa les yeux : « Non capitaine, mes forces m’abandonnent. Je vais rester là pour garder les corps de nos Frères. Je vous attends ici. »
« Bien. Alors à tout à l’heure. » Termina le Frère-capitaine avant de se relever et de jeter un œil vers les combats.

Au loin de l’autre coté du champ de bataille, les escouade tactique dites « Dragon » était en train de terminer d’éliminer les poches de résistances formées de bandes d’Orks en petits groupes. Esperos et les devastator ne trouvait plus de cible et traversaient la zone de no man’s land en achevant les blessés. L’escouade Rage Ardente était en train de poursuivre un petit véhicule Ork, les vétérans avaient reçu l’aide des motocyclistes et même si le rhino aurait besoin d’une réparation importante, il pourrait servir encore pendant longtemps.
« Everon à toutes les escouades » Commença le Frère-capitaine. « Je veux un rapport complet de chaque unité. »
« Escouade Juste Courroux au rapport. Frères Onir et Lemos sont gravement blessé. Plus de contact avec l’ennemi. »
« Escouade Fureur Divine. On est sortit de notre trou Frère-capitaine ! On a plus de contact non plus. Deux blessés légers. »
« Escouade Saine Violence. Aucun contact, aucun blessé. On pourrait presque croire qu’on ne s’est même pas battu. Je suis déçu ! » Le Frère-sergent Armanes conclut par un rire tonitruant avant de céder la place à l’escouade suivante.
« Escadron Rage Ardente. Frère Rannes légèrement blessé à l’épaule. Sa moto a explosée pendant le dernier corps à corps. Plus de contact ennemi. »
« Escouade Déchainement Divin et Esperos au rapport. Aucun problème de notre coté. Tout est calme ici. »

Satisfait, Everon appela l’un des thunderhawks qui s’occupaient de la préparation du campement en déposant au sol de lourds baraquements en plastacier pour lui demander de s’occuper des carcasses du land-speeder et du rhino. Et ordonna le retour au camp pour toutes les escouades, la première offensive s’était parfaitement déroulée pensa-t-il. Mais ils avaient perdu deux Frères.
C’était déjà trop.

Publié dans Récit

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